Henry n‘est pas ce qu‘on pourrait définir de super costaud, avec des biceps de deux mètres de haut. Il est de corpulence normal, mesurant environ 1m80, et pesant 70 Kg. Une barbe mal rasé, des cheveux ondulants jusqu’aux omoplates. Il a des yeux bleus magnifiques. Une petite particularité à souligner il a une légère cicatrice sur la joue droite. Vraiment légère, puisqu’elle peut passer inaperçu lorsque les gens ne sont pas attentifs.
Son visage est généralement très expressif, ses yeux ne cillent pas beaucoup, mais ses sourcils par contre son sans cesse en mouvement. Il ne ressemble pas à l’image que l’on se fait d’un fils d’Arès, ce n’est pas l’image d’une brute épaisse et sanguinaire. Il a l’air calme, et ne semble pas chercher la bagarre pour un rien.
d'un point de vue vestimentaire, il apprécie les choses simple et pratiques, sweat-shirt avec de grandes poches, il possède une collection d'une vingtaine de jean's, bleu foncé ou noir. Des t-shirt manche courte. Il ne possède rien de vraiment original. Les couleurs varient souvent entre le rouge, noir, blanc et bleu foncé. Il porte à ses pieds des bottines de randonnées noirs, ou des basket rouge fluo. Il ne possède rien d'autre de bien particulier, si ce n'est une bague à l'index droit, et trois piercing à l'oreille gauche. Petite particularité, il a un tatouage sur l'omoplate droite, une épée celtique ailé. sa collection (plus que) restreinte de vêtements ne comporte pas de manteau, du quoi, quand il pleut, il me sa veste de moto, un veste rouge et noir. Donc, le pantalon et les gants sont assortis. Avec cela un casque noir mat classique. Il porte aussi lorsque les journées ses refroidissent des mitaines de laine légère,

Henry est quelqu‘un de solitaire, il aime bien faire certaines choses seuls. Il n‘en est pas moins sociable et aimable, ce n‘est pas un Hermite. Mais, il tient à sa tranquillité. Il est du genre honnête et juste, droit dans ses convictions, il ne supporte pas les mensonges, n‘aime pas certaines formes d‘autorités dictatoriales. Il est très honnête, et loyal. Sauf, si son sens de la justice le pousse à se retourner contre un ami, devenant alors, un ennemi. Il ne connait rien de plus important que la liberté. L’amitié vient en second lieu, il a peu d’ami, mais, il est toujours près à aider les autres.
Il aime lire des livres, et apprécie différentes formes d’art, même si la seule qu’il pratique est celle de la guerre, il n’en est pas moins intéressé. Il aime aussi, son pays d’origine, l’Autriche. D’un point de vue psychologique, Henry semble équilibré, mais, il y a une chose qui l’ennuie atrocement.
S’il refuse les régime autoritaires, l’existence des dieux, est une forme de régime d’autorités divines. Heureusement, les dieux semblent laisser les humains fort libre, et il apprécie, même s’il regarde tout cela de loin. La rumeur selon laquelle Cronos essaierait de renverser son fils, lui parait absurde, puisque Cronos avait été découpé en petits morceaux par Poséidon, Zeus, et Hadès, après que Zeus ai éventré celui-ci pour libérer ses frères et sœurs. Mais, le règne des titans l’inquiète, il semble beaucoup plus dictatoriales, que les dieux présent. D’où sa décision de suivre les dieux, pour la liberté.

Henry est née un soir d‘hiver 1990, Il n‘a jamais vu Arès, jamais. Sa mère, une femme fragile, mais vaillante et fière, a toujours été son idéal. Il vécut à eux deux seuls. Sa vie n‘a rien d‘exceptionnel, mis à part quelques évènements. Il vécut une enfance normale l'école, les cours d'équitation qu'il fit durant une dizaine d'années, se faisant quelques amis, se disputant
.Déjà à l'époque, il était relativement souple, exécutait plus facilement que les autres, certaines figures, il comprenait facilement les mouvements.
Il n‘était pas un grand bagarreur, mais, il n‘hésitait pas à se défendre, ou à défendre les autre par les poings. Ce qui lui valut quelques avertissements, car, il gagnait tout le temps. Mais, au fil des années, il lui fallut, plus de combat, sans cesse. Toujours plus, se bagarrant pour un rien. Et, ce fut ainsi, jusqu‘à 12 ans, où sa mère inquiète, n‘arrivait pas à lui faire la morale, et à l‘empêcher de se battre. Heureusement, l‘adolescence naissante et la maturité arrivant à grand pas, il cessa de se battre pour un rien. Même s‘il se battait encore dans la cour très régulièrement. Il échappa au statut de grosse brute épaisse qu‘il eut pu devenir s‘il avait continué sur cette lancée. Il avait en lui tant de rage, tant de violence, mais, il réussit à détourner tout cela, pour défendre les plus faibles, et aplatir ceux qu‘il n‘aimait simplement pas.
À 16 ans, tout bascula, puisqu‘il fit son premier mort. Si avant, il n‘avait jamais fait mal à quelqu‘un au point de le tuer, parce qu’il n‘avait que ses poings, et que ce n‘était certainement pas son arme de prédilection. Une fois, qu‘il eut touché un couteau tout se passa si vite. Il se souvient avoir pris le train pour rentrer chez lui, sac sur le dos. Musique dans les oreilles, coupés du monde extérieur. Il descendit à une station fort peuplé, pour sa correspondance. Sur le quai, il y avait une jeune homme, il devait avoir environ 18 ans, sans doute un étudiant, puisqu‘il avait à ses cotés un sac, dans lequel il devait un avoir un ordinateur portable à en juger par la marque, et le style de sacoche. C‘est à ce moment là, que trois adultes d‘environ 20 ou 25 ans, jugèrent bon, de réquisitionner son sac, avec l‘ordinateur. Le jeune homme ne semblait pas capable de se battre, et d‘en retourner une, il s‘accrocha à son sac. Alors, que deux d‘entre eux, essayaient de les séparer. L‘’autre, observait la scène avec un sourire satisfait. Personne ne bougeait, il avait une dizaine de personnes attendant, le train, le nez plonger dans un bouquin, ou dans le journal. Certain, trouvaient de justesse une occupation pour ne pas intervenir. Il ne supportait pas cette lâcheté.
Il se leva, et retira ses oreillettes, il s‘approcha de celui qui souriait. Il sentait la rage et la violence monté en lui. Il allait avoir du mal contre les trois malabars, mais, cela ne le retient pas, il colla une droite dans la mâchoire de celui qui devait être le chef, sans un mot, sans un bavardage, il n‘était pas du genre à raconter sa vie, avant de passer à l‘attaque. Le colosse le frappa violemment, le projetant à terre, il se releva, et les coups fusèrent. Les autres, avaient réussit à séparer le jeune homme de son sac. Et, retirent Henry par les bras, l‘empêchant d‘attaquer. Le big boss… plus big que boss, sortit un couteau, il essuya le sang qui coulait de son nez en forme de poire. C‘est là, qu‘il prit sa cicatrice sur la joue droite. Heureusement, il libera un de ses bras, et attrapa le couteau, le plantant dans la gorge de celui qui tenait encore le deuxième bras, le boss, recula apeuré, et le second fut assommé par un des coup de coude d‘Henry. Le boss fut. Et, le propriétaire du sac récupéra son bien.
Apparemment, une des personnes qui attendait le train avait réussit à appeler la police. Un mort, un assommé, un fuyard, et un ado ensanglanté, couteau dans la main, au milieu de ce carnage. Il fut évidemment arrêté. On ouvrit un dossier, il du suivre une thérapie chez un psychiatre, heureusement, le jeune étudiant témoigna de son innocence, de l‘avoir aider, deux autres personnes attendant le train témoignèrent aussi. Le chef était en fuite, et bien connu des services de police. Cela joua en sa faveur. Mais, les faits étaient là, il y avait un mort. Il devait passer un an, à suivre une thérapie, un moyen comme un autre de l‘avoir à l‘œil.
Mais, cela n‘est rien, par rapport au savon que lui passa sa mère en rentrant. Elle pleurait à chaud de larmes, criant dans tout les sens, si bien qu‘après dix minutes ses mots ne signifiaient plus rien, et se rapprochaient plus de cris strident, à la limite de l‘ultrason.
À 18 ans, il n‘avait pas fait de second mort, et cette fois ci, on n‘aurait pas été aussi, coulant. Il se tenait donc à carreaux. D‘ailleurs, il ne prenait plus le train, puisqu‘il avait hérité d‘une vielle moto. Mais, cette année là, ce n’est pas son moyen de locomotion qui était important, mais sans doute, le fait que sa mère lui raconta une drôle d’histoire. Tout cela se passe en mai 1989, où elle rencontra un homme charmant, mais impulsif. À ce moment là de l’histoire elle avait regarder droit dans les yeux de son fils, elle continua hésitante, racontant, qu’elle fut bientôt enceinte. Au septième mois, le père ne put revenir, jamais, il ne reviendrait, il n’en avait pas le droit. Henry savait déjà que son père était un lâche et un dégonflé. Qui n’avait pas les couilles de reconnaitre son fils, et il les avaient abandonnées. Mais, ça c’était avant d’avoir eux la suite de l’histoire. Car, sa mère insinua que son père était un dieu. Arès même, ce qui expliquait le comportement de son fils.
Henry rit, quel histoire absurde, il n’avait jamais cru en aucuns dieux, ce n’était surement pas pour croire en l’existence de dieux vieux de plus de 2 millénaires.
Mais, sa mère ne riait pas. Il s’inquiéta, sa mère devenait folle, sans doute. Ou alors, la solitude la poussait à s’inventer des histoire. Puis, il avait aussi d’autres enfants bagarreurs dans le monde, c’était courant.
Elle soupira, et, expliqua une seconde fois son histoire, mais cette fois-ci elle ne retint pas ses larmes, murmurant entre deux sanglots qu’elle n’était pas folle. Il ne savait pas pourquoi, mais, il s’assit près d’elle et la consola. Après, s’être calmé, elle se leva lui demandant de ne pas bouger. Il entendit ses pas, aller aux greniers, puis ses mains fouillés. Elle ne tarda pas à descendre. Il avait apporter un coffret noire et tout allongé. Elle le posa sur la table du salon, et regarda son fils droit dans les yeux. Elle lui dit doucement:
-  « Tiens! C’est pour toi,… c’est-ce que ton père t’a laissé »

Il haussa un sourcil, regardant successivement sa mère et la boite étrange. Un boite noire, rectangulaire, pas de nom, pas de motif, un noir mat. Et deux chevilles de métal qui en permettaient l’ouverture. Il soupira, et ouvrit la boite. Sur un cousin bordeaux, régnait en maitre une lame dans son fourreau, une épée. Il regarda sa mère intrigué. Elle regardait l’épée nostalgiquement. Le fourreau était accroché à une ceinture de cuir sombre. Il prit l’épée en main, elle était drôlement lourde. Il la sortit de son fourreau. Elle était magnifique, ornée de minuscule arabesque. La lame semblait avoir été très aiguisé autrefois, mais le temps l’aura rendu légèrement moins coupante. Heureusement, elle avait été incroyablement bien conservé. Quelques soins et elle retrouverait son coupant d’autrefois.
Il ne savait pas pourquoi, mais, il crut sa mère, elle n’avait jamais su mentir. Particularité familiale sans doute. Mais, … c’était tellement énorme.
Et, il s’entraina à manipuler cet héritage, s’amusant à se battre contre un mannequin dans le jardin. Il acquiert très vite un certain niveau. Ce qui l’empêcha de vraiment la manier, c’était son poids, il mit un an entier, à s’y habituer. Et, durant deux ans, jusqu’à ses20 ans, il suivit des cours d’escrime, la technique n’était pas tout à fait pareil. Mais, il ne pouvait tout apprendre par lui-même. Évidemment, son épée ne quittait pas la maison.
À 20 ans, donc, il quitta la maison, sa mère l’emmena dans un endroit spécial. Ce départ n’avait pas été prévu, mais, son père lui avait parlé dans son sommeil. Il semblerait qu’il ai toujours été là, veillant. Mais, aujourd’hui, il devait se rendre à ce qu’il avait appelé le camp « des sang mêlés » car, une menace pesait. Il n’en dit pas plus. Mais, il avait vu son père c’était tout ce qui importait. Il raconta cela à sa mère. Elle en lâcha l’assiette qu’elle avait en main. En dix minutes sa valise était faite, il avait emporté des sandwich pour la route. Et il arrivaient au camp. Tout était allé si vite. Il ne savait même pas ce qu’on y faisait. Sa valise, trainant derrière, lui, seul, car, sa mère ne pouvait entrer. Il se rendit dans le camp …. Et, c’est là que commence son histoire….